Puslapio vaizdai
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SENIOR GERMAN.

Dictation.

Es war einmal ein armer, alter Geiger, dem ging es sehr schlecht. Seine Beine wollten ihn fast nicht mehr tragen, und seine Finger waren so steif geworden, dass er nur mit Mühe die Saiten seiner Geige greifen konnte. Darum wollten die Leute seine Musik nicht mehr hören, und wenn ihm nicht mancher aus Mitleid ein Stück Brot gegeben hätte, so wäre er vor Hunger gestorben.

Eines Tages war er auf der Wanderung nach einer Stadt, wo ein grosses Fest gefeiert werden sollte, bei dem er mit seinem Geigenspiel etwas zu verdinen hoffte. Der Wind hatte ihn durchkältet und der Regen durchnässt, er war müde, hungrig und elend, und so traurig war ihm zu Mute, dass er sich am liebsten in den Graben gelegt hätte, um zu sterben.

Endlich, als gerade die Abendsonne noch einmal hervorbrach, trat er aus dem Walde und sah vor sich die Stadt liegen mit ihren Türmen und roten Dächern. Dahinter stand eine dunkelgraue Wolke, und auf dieser ein leuchtender Regenbogen. Dies hätte der arme Geiger nun als ein gutes Zeichen betrachten können, aber er war viel zu elend, und setzte sich seufzend auf einen Stein, um sich ein wenig auszuruhen,

JUNIOR FRENCH.

A and B to be written in separate books.

1. Traduisez en anglais :

A.

Par un matin clair, à travers les rues que la chute récente de la neige avait rendues silencieuses, Narcisse fut conduit à la mairie, salle des mariages. Elle avait encore ses rideaux verts et ses tables de chêne ciré, la salle des mariages; seulement à la place du maire en écharpe, un général allemand était assis, entouré d'officiers. A droite, entre deux soldats, quelqu'un se tenait debout, que Narcisse reconnut bien: le meunier dont le moulin se trouvait au bord de la rivière, à deux cents mètres au-dessous du pont. Enfin, sur la table, en belle place, le greffier aperçut, le chapeau de soie, défoncé, couturé, humide encore d'un séjour prolongé dans l'eau.

Dites ce que vous savez de Bazin.

(Répondez en anglais ou en français).

2. Traduisez en anglais :

Le mardi, les juges formèrent à l'archevêché une assemblée telle quelle d'assesseurs, dont les uns n'avaient siégé qu'aux premières séances, les autres jamais, au reste gens de toute espèce, prêtres, légistes, et jusqu'à trois médecins. Ils leur rendirent compte de ce qui s'était passé et leur demandèrent avis. L'avis, tout autre qu'on ne l'attendait, fut qu'il fallait mander encore la prisonnière et lui relire son acte d'abjuration. Il est douteux que cela fût au pouvoir des juges. Il n'y avait plus, au fond, ni juge, ni jugement possible, au milieu de cette rage de soldats, parmi les épées. Il fallait du sang, celui des juges, peut-être, n'était pas loin de couler.

Racontez en quelques lignes l'histoire de Jeanne d'Arc d'après Michelet.

(Répondez en anglais ou en français).

3. Traduisez en français:

The next morning his father took two places in the coach and conveyed him to Paris to the Collège d'Harcourt. He made all the arrangements and wished his son good-bye. But the good man loved the boy too dearly to leave him without being quite at ease how he would fare. He had the patience to remain a fortnight, killing the time and half dead of weariness, in an inn, without ever seeing his son. At the end of the time he went to the college, and Diderot used many a time to say that such a mark of tenderness and goodness would have made him go to the other end of the world if his father had required it. "My friend," said his father, "I am come to see if you are well, if you are satisfied with your food, with your companions and with yourself. If you are not well or not happy, we will go back together to your mother.-(John Morley).

B.

1. Un jour, elle entendit à une des fenêtres, donnant sur la cour que l'on appelait la cour des femmes, un bruit strident pareil à celui que produirait un diamant grinçant sur le verre. Ce bruit fut suivi d'un choc léger à la vitre, que couvrait avec intention la toux d'un homme. Puis, à l'angle de la vitre, apparut un petit papier roulé qui glissa lentement et tomba au pied de la muraille. Alors elle se leva doucement, retenant son haleine, et alla ramasser le papier.

Un objet mince et dur en glissa. C'était une lime de la plus grande finesse, un de ces ressorts d'acier avec lesquels une main, si faible et si inhabile qu'elle soit, peut couper le fer du plus épais barreau.

Write notes on: Fouquier-Tinville menté

Ça ira.

un prêtre asser

2. Il y avait alors, dans le village, un prisonnier nommé Neiler, né en Russie et fils d'un tailleur allemand. Cet homme avait été pendant quelque temps domestique d'un étudiant à l'université de Moscou, et il avait tiré de cette circonstance l'avantage de passer pour un esprit fort à Ischim. Neiler s'imaginait être un incrédule. Cette espèce de folie, jointe au métier plus utile de tailleur qu'il possédait, l'avait fait connaître des habitants et des prisonniers, dont les uns lui faisaient rac

commoder leurs habits et dont les autres s'amusaient de ses impertinences.

3.

(i) Write down in French:

(a) He will not give it to me.

(b) They have always loved each other.

(c) It is useful to know French.

(d) It is the same thing.

(e) Whatever your faults may be.

(ii) Give the French for the italicized words:

[blocks in formation]

(c) The man whose house is old.

(d) It is raining, which prevents me going out. (e) Is anyone there? No one.

(iii) Give the French for:

(a) He ought to have done it.
(b) They ought to go to Paris.
(c) He has had his dog killed.

(d) If he were to come, I do not know if I should see him. (e) "Never!" he said, laughing.

(iv) Translate the following sentences and explain the construction of the italicized words:

(a) C'est la plus jolie fleur que j'aie jamais cueillie.

(b) Je ne crois pas qu'elle le voie.

(c) Il importe qu'il réussisse.

(d) Je cachai le livre sans que mon ami le vît.

(e) Ils se sont fait mal.

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