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FINAL HONOURS.

COLONIAL HISTORY.

SECOND PAPER.

1. Draw up a short bibliography of the life of any one of the following: Lord Sydenham; Lord Elgin; Sir John Macdonald.

2. Write notes on the following extracts:

(a) Of all the remedies which have been suggested for the acknowledged and insufferable ills with which our country is afflicted there remains but one to be considered. . . This remedy consists in a friendly and peaceful separation from British connexion, and a union upon equitable terms with the great North American confederacy of sovereign states.

(b) Self-government would be utterly annihilated if the views of the Imperial government were to be preferred to those of the people of Canada.

(c) It is admitted that the provinces are not really represented to any Federal intent in the Legislative Council. The Cabinet here must discharge all that kind of function which in the United States is performed, in the Federal sense, by the Senate.

(d) On any such readjustment the number of members for a Province shall not be reduced unless the proportion which the number of the population of the Province bore to the number of the aggregate population of Canada at the then last preceding readjustment of the number of members for the Province is ascertained at the then latest census to be diminished by onetwentieth part or upwards.

or,

Translate and comment on the following passage from Siegfried "Le Canada":

Lorsque les Canadiens français parlent des Anglais, leur pensée évoque d'une façon vague la race britannique tout entière, mais plus spécialement les Anglais des provinces de Québec et d'Ontario,aux côtés desquels ils vivent depuis si longtemps. Après cent cinquante ans de vie commune, sous les mêmes lois et le même drapeau, ces voisins demeurent pour eux des étrangers et, dans la plupart des cas, des adversaires. Ils ne s'aiment pas plus qu'au premier jour et il est aisé de voir qu'on se trouve en face d'une de ces antipathies tenaces et profondes, contre lesquelles l'effort des conciliateurs vient habituellement se briser.

Vis-à-vis de l'Angleterre, la situation des Français d'Amérique est toute différente. A l'exception de quelques-uns de leurs chefs, ils n'ont pas avec elle de rapports immédiats et il en résulte que les occasions de froissement sont rares. En principe, la Métropole ne se mêle pas des querelles locales de la Colonie, ou si elle le fait, c'est généralement avec une réserve suffisante pour que l'intervention reste inaperçue. Bien que cette saine tradition ait été tant soit peu abandonnée pendant le passage aux affaires des conservateurs-impérialistes, le gouvernement de Londres apparaît encore avec le prestige lointain d'un arbitre suprême auquel on ne fait pas toujours en vain appel. Il n'y a donc pas, chez les nôtres, de haine contre l'Angleterre; par contre, il n'y a pas davantage d'affection. Quand les armées anglaises sont battues sur quelque champ de bataille, comme pendant la guerre du Transvaal, les Canadiens français n'en éprouvent pas une violente douleur; ils s'en réjouissent même ouvertement, mais c'est surtout pour narguer leurs voisins d'Ontario et se donner, devant eux, le plaisir de marcher un peu sur la queue du lion britannique; c'est une petite revanche d'amourpropre. En réalité, ils ne voudraient pour rien au monde voir la Grande-Bretagne réduite à néant.

3. Compare the B.N.A. Act either with the Constitution of the U.S.A. or with the Australian Commonwealth Act, showing briefly the historical causes of the main differences.

or,

"The true Father of Confederation was Dead-Lock." Discuss this statement.

or,

How far has Canadian literature been a worthy glass in which to survey Canadian life?

5. Write a life of Edward Blake, with special reference to the years 1870-1880.

or

In the B.N.A. Act, what restrictions are placed upon provincial control of education? How far have they since proved to be of political importance?

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