Puslapio vaizdai
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For the death of Memnon or Sarpedon ;
Then fmeak your Hecatombs--

By this, every body were convinced that the form by law cftablished wanted amendment; the Priests from all parts were ga ther'd together? they were alhamd of their Calendar, Reform, Reform was the only cry amongst 'em; Not one Nolumus---In all the Convocation.

And thereupon Meton, the Mathematician was fent for, and fea to work; And from thence our Chrono-graphers had a new Ep.che.

*

From this place we may obferve another reafon for Homer, against the objection by Plato, to wit, that Homer had an eye to the Greek Liturgie, And that paffage in Homer was to fhow Sarpedons Faft to be of Divine Institution.

This fmall Sally, or start out from the play is of greater Moment, is of importance, than all the Stage con'd pretend to.

more weight and
Tragedies on our
And yet
And yet for mo-

dern Comedy, doubtless our English are the

best in the World,

* vid page 34.

Extrait

Extrait des Registres du Parlement du Vendredy 9. Decembre l'an 1541. Monfieur de S. André Prefident.

EN

Ntre le Procureur General du Roy prenant le fait en main pour les pauvres de Paris demandeur & requerant l'enterinement d'une Requeste par luy presentés à la Cour d'une part.

Et Miiftre Francois Hamelin Notaire au Chaftelet de Paris, Francois Pouldrain, Leonard Choblets, Jean Louvet, Maiftres En. trepreneurs du Jeu, & Mystere des Actes des Apoftres, n'agueres executé en cette Ville de Paris, défendeurs à l'enterinement de ladite Requefte, d'autre.

Le Maitre pour le Procureur du Roy, dit qu'anciennement les Romains inftituerent plufieurs jeux publics, de la plus part defquels parle Tite Live, & les recite tous Flavius qui a écrit de Roma triumphante. Mais quelques jeux que ce fuffent, il n'y en avoit aucuns qui fuffent ordinaires; ains ne fe faifoient finon les occafions occurrentes, & pour quelques caufes notables & infignes,

comme

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comme pour quelque victoire ou triomphe, ou pour quelque pompe funebre ou autre notable caufe. Vray eft que Feftus Pompeïus recite une maniere de jeux qui fe faifoient fans occafions, & dicebantur ludi facu tares; mais ils ne fe faifoient, nifi centefimo quoque anno. Et encore apres que les Romains furent attediez de tels jeux publics & qu'ils connurent qu'is tournoient en laf eivete, & in perniciem de la Republique, ik les laifferent: & y eut loy expreffe que les frais & impenfes qui fe faifoient de jeux publics, feroient employez és reparations de la ville de Rome: Et encore eft aujour d'huy cette loy écrite, l. unica e, de Expenfes ludorum lib. I F.

Et pour le fait, dit que puis trois ou qua tre ans en ca les Maiftres dela Paffion one entrepris de faire jouer & reprefenter e Myftere de la Paffion qui a efté rait, & parce qu'il s'eft trouvé qu'ils y ont fait gros gain, font venus aucuns particuliers gen non lettrez, ny entendus entelles affaires, & gens de condition infame, comme un Menusier, un Sergent à Verge, & un Tapiffier & autres qui ont fait jouer les Actes des Apoftres, en iceux commis plufieurs fautes, tant aux feintes qu'au jeu, & pour allonger le temps on frit compofer, dicter & adjouter phr fieur

S

fieurs choses apocryphes, quoy que foit non contenuës és Actes des Apoftres, & fait durer trois ou quatre journées, afin d'exiger plus d'argent du peuple, en entremettant à la fin ou au commencement du jeu, farces lafeives & de mocqueries, en ont fait durer'leur jeu l'espace de fix ou fept mois, d'où font advenus, & adviennent ceffations de fervice divin, refroidiffement de charitez & aumofnes, adulteres & fornications infinies, fcandales, derifions & mocqueries.

Et pour les declarer en premier lieu par le menu, dit que pendant lesdits jeux, & tant qu'il ont duré, le commun peuple dés huit à neuf heures du matin és jours de Feftes delaiffoit fa Meffe Paroiffiale, Sermon & Vefpres pour aller efdits jeux garder fa place, & y eftre jufqu'à cinq heures du foir: ont eeffé les Predications, car n'euf. fent eu les Predicateurs qui les euft écoutez. Et retournant defdits jeux, fe mocquoient hautement & publiquement par les ruës def dits jeux & des joueurs, contrefaifant quelque langage impropre qu'ils avoient ouy defdits jeux ou autre chofe mal faite, criant par derifion que le S. Efprit n'avoit point voulu defcendre, & par d'autres mocqueries. Et le plus fouvent les Preftres des

Paroiffes

Paroiffes pour avoir leur paffe-temps d'aller efdits jeux, ont delaiflé dire Vefpres les jours de Feftes, ou les ont dites tout feuls dés l'heure de Midy, heure non accouftumée: & mefme les Chantres ou Chappellains de la Sainte Chappelle de ce Palais tant que lefdits jeux ont duré, ont dit Vefpres les jours de Festes à l'heure de midy, & encore les difoient en pofte & à la legere pour aller efdits jeux, chefe indecente, non accouftumée & de mauvais cxemple, & contre les faints Conciles de l'Eglife, mesme contre le Concile de Chartage, in c. qui die de confecrat. dift. 1: où eft dit : Qui die folemni prætermiffo Ecclefiæ conventu ad Spectacula vadit, excommunicetur.

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Secundò, les Predications font plus decentes pour l'inftruction du peuple, attendu qu'elles fe font par Theologiens gens doctes & de scavoir, que ne font les Actes ou representations qu'on appelle jeux que font gens ignorans & indoctes qui n'entendent ce qu'ils font ne ce qu'ils dient, reprefentant les A&tes des Apoftres, le vieux Teftament & autres femblables Histoires qu'ils s'efforcent de representer.

Tertiò, il eft certain & indubitable par jugement

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